Arrivée catastrophique. L'hotel n'était pratiquement occupé que par des Bulgares venus faire les vendanges et qui, par ces temps de canicule, et étant très nombreux, (ils devaient certainement excéder le nombre autorisé par chambre vu leur nombre), occupaient tout les espaces extérieurs, (pelouse situées devant et derrière l'hotel, les coursives, étages... au point que si nous avions accepté d'y résider pour la nuit, ils nous aurait été très difficile de nous frayer un chemin jusqu'à notre chambre avec nos bagages. Rebuté à l'idée de passer une nuit blanche à cause du bruit qui régnait dans l'établissement, nous avons refusé la chambre que nous avions réservé et avons insister pour avoir une chambre au campanile qui jouxtait ce "premiere classe", et qui s'occupait de l'accueil de cet hotel. après un marchandage pénible et la menace de dormir dans le salon du campanile si nous n'obtenions pas gain de cause (notre nuit n'aurait pas été pire que si nous l'aurions passé dans la chambre du "première classe", nous avons réussi à obtenir une chambre au campanile (sans supplément) et par conséquent, à passer une nuit digne de ce nom.
il est très regrettable que le propriétaire du chateau du coin qui emploient ces travailleurs n'ait pas réservé la totalité de l'hotel, et / ou, que le gérant du première classe ait accepté de continuer à louer aux particuliers, compte tenu de la nuisance que ces travailleurs occasionneraient aux voyageurs de passage.
Quand prime l'appat du gain.